Paléo 2017

Nemo a écrit:

Arcade Fire ils savent que Nyon c'est en Suisse ?

Sacrée petite bite Butler. J'espère que le Paléo les accueille à la Oasis 2000...

Mardi et mercredi me semblent intéressants !

La prog est super bien repartie ! Les bouses en fin de semaine parfait
J'irai le mercredi et peut être le mardi pour Foals

le mercredi est vraiment bien! Mardi également me tente bien.

j'espère choper des billets cette année !

A noter le changement cette année :

Citation :

Merci de noter que les abonnements 4 et 5 jours ne seront plus disponibles cette année.

Nemo a écrit:

Moi je mise Björk, Arcade Fire, Muse et Tryo...

On parle bien de Paléo 2007 non ?

J'étais pas si loin en fait !

https://www.facebook.com/couleur3/videos/10153636819429503/

😂

on leur dit que Lyon est pas en Suisse?

TiPuncH a écrit:

on leur dit que Lyon est pas en Suisse?

Sigur Ros 8 a écrit:

TiPuncH a écrit:

on leur dit que Lyon est pas en Suisse?

Lyon? Nyon? C'est peut-être comme ça qu'ils ont réussi à convaincre Arcade Fire de revenir

Il pourrait y avoir Mogwai, Yndi Halda, Explosions in the Sky et Godspeed le même soir que les Red Hod, j'y foutrais pas les pieds.

Une autre question. Il n'y a que moi à qui la présence des Red Hot ne fait ni chaud ni froid. Voire encore moins que ça?

Mike-Skinner a écrit:

Une autre question. Il n'y a que moi à qui la présence des Red Hot ne fait ni chaud ni froid. Voire encore moins que ça?

pourtant hot c'est chaud en anglais non ?

Mike-Skinner a écrit:

Une autre question. Il n'y a que moi à qui la présence des Red Hot ne fait ni chaud ni froid. Voire encore moins que ça?

C'est l'effet "Paléo". S'il venait au Hallenstadion ou au Stade de Suisse, on s'en fouterait complètement. Mais, spécialement dans le district de Nyon, y'a toujours une sorte de fierté d’accueillir une grosse tête d'affiche dans son "jardin".

Personnellement je suis content d'aller les voir même si c'est plus par nostalgie qu'autre chose.

les horaires

Pixies et Midnight Oil en première partie d'Arcade Fire. Petit souci d'égo?

Igor a écrit:

Pixies et Midnight Oil en première partie d'Arcade Fire. Petit souci d'égo?

En même temps, Midnight Oil n'a rien fait depuis 20 ans et Pixies n'a rien fait de bien depuis 20 ans..

Sigur Ros 8 a écrit:

Igor a écrit:

Pixies et Midnight Oil en première partie d'Arcade Fire. Petit souci d'égo?

En même temps, Midnight Oil n'a rien fait depuis 20 ans et Pixies n'a rien fait de bien depuis 20 ans..

Quant à Arcade Fire... Le néant, il y a 20 ans comme aujourd'hui. Ou le mérite de la constance

cynosargos a écrit:

Sigur Ros 8 a écrit:

Igor a écrit:

Pixies et Midnight Oil en première partie d'Arcade Fire. Petit souci d'égo?

En même temps, Midnight Oil n'a rien fait depuis 20 ans et Pixies n'a rien fait de bien depuis 20 ans..

Quant à Arcade Fire... Le néant, il y a 20 ans comme aujourd'hui. Ou le mérite de la constance

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Mike-Skinner a écrit:

cynosargos a écrit:

Sigur Ros 8 a écrit:

Igor a écrit:

Pixies et Midnight Oil en première partie d'Arcade Fire. Petit souci d'égo?

En même temps, Midnight Oil n'a rien fait depuis 20 ans et Pixies n'a rien fait de bien depuis 20 ans..

Quant à Arcade Fire... Le néant, il y a 20 ans comme aujourd'hui. Ou le mérite de la constance

...

Pas mieux

Les Inrocks ne tarisse pas d'éloges le concert de Arcade Fire aux Eurocks

les Inrocks a écrit:

Arcade Fire a livré une prestation éblouissante aux Eurockéennes de Belfort

Dimanche 9 juillet, il était à peu près minuit aux Eurockéennes de Belfort lorsque Arcade Fire au grand complet a posé le pied sur la grande scène. La journée avait été très humide, et la plupart des festivaliers avaient – c’est peu de le dire – pris l’eau. Les mines étaient déconfites et les pieds vraiment mouillés, je vous le jure.
Puis, il y a eu les premières mesures d’Everything Now, qui ont retenti comme un message fulgurant. Sur scène, aux côtés du groupe, on reconnaissait Patrick Bebey, fils du regretté démiurge camerounais Francis Bebey, qui joua à la flûte pygmée la ritournelle de The Coffee Cola Song de son père, titre de 1982 qu’Arcade Fire a repris pour construire le hook de ce premier single envoyé en éclaireur d’un album attendu pour fin juillet.

Un spectacle brut et fascinant

On le sait, les concerts d’Arcade Fire sont réputés offrir quelques années d’espérance de vie supplémentaires. Mais ce que nous avons vu ce soir-là à Belfort nous a semble-t-il emmenés, nous comme Arcade Fire, encore un peu plus loin.

Ce qu’il y a eu au cœur de ce concert forcément fondateur, c’est la démonstration évidente que le collectif est une valeur indémodable. Façon Ajax des années 1970, il fallait voir les Montréalais s’échanger les instruments et les rôles, comme à la parade, passant du chant à la batterie et de la guitare au clavier avec une aisance rare.

Il n’y a pas de postes définis chez Arcade Fire, pas de règles, pas d’ambition autre que celle de faire avancer plusieurs personnes dans le même sens, en toute humilité.

Ce que nous avons vu ce soir-là, c’est un groupe qui, là où d’autres formations ont choisi de céder au confort moderne et au barnum (comme U2 le fit juste après The Joshua Tree, dont Michka Assayas nous fait l’amitié de raconter la passionante story cette semaine), a choisi, lui, de livrer sur scène le spectacle brut et fascinant d’une intimité artistique magnifiée, livrée avec la parcimonie qu’il faut.

Le triomphe d’Arcade Fire à Belfort, c’est celui d’une bande qui n’a pas bougé d’un pouce, qui joue encore chaque concert comme si c’était le dernier, sans ironie, sans arrière-pensées, accumulant les tubes au fur et à mesure des albums et des années.

Près de deux heures de musique jouée sans interruption, avec une passion intacte, qui ont littéralement transcendé le public des Eurocks : on le voyait dans les yeux des spectateurs tout au long de la version étendue de Wake up qui s’est conclue sur un feu d’artifice – au sens propre – et un chant a capella collectif extrêmement prometteur et rassurant.

l'article

après c'est les Inrocks ... et on connait l'histoire d'amour entre Arcade Fire et les Eurockeennes

twix a écrit:

Les Inrocks ne tarisse pas d'éloges le concert de Arcade Fire aux Eurocks

les Inrocks a écrit:

Arcade Fire a livré une prestation éblouissante aux Eurockéennes de Belfort

Dimanche 9 juillet, il était à peu près minuit aux Eurockéennes de Belfort lorsque Arcade Fire au grand complet a posé le pied sur la grande scène. La journée avait été très humide, et la plupart des festivaliers avaient – c’est peu de le dire – pris l’eau. Les mines étaient déconfites et les pieds vraiment mouillés, je vous le jure.
Puis, il y a eu les premières mesures d’Everything Now, qui ont retenti comme un message fulgurant. Sur scène, aux côtés du groupe, on reconnaissait Patrick Bebey, fils du regretté démiurge camerounais Francis Bebey, qui joua à la flûte pygmée la ritournelle de The Coffee Cola Song de son père, titre de 1982 qu’Arcade Fire a repris pour construire le hook de ce premier single envoyé en éclaireur d’un album attendu pour fin juillet.

Un spectacle brut et fascinant

On le sait, les concerts d’Arcade Fire sont réputés offrir quelques années d’espérance de vie supplémentaires. Mais ce que nous avons vu ce soir-là à Belfort nous a semble-t-il emmenés, nous comme Arcade Fire, encore un peu plus loin.

Ce qu’il y a eu au cœur de ce concert forcément fondateur, c’est la démonstration évidente que le collectif est une valeur indémodable. Façon Ajax des années 1970, il fallait voir les Montréalais s’échanger les instruments et les rôles, comme à la parade, passant du chant à la batterie et de la guitare au clavier avec une aisance rare.

Il n’y a pas de postes définis chez Arcade Fire, pas de règles, pas d’ambition autre que celle de faire avancer plusieurs personnes dans le même sens, en toute humilité.

Ce que nous avons vu ce soir-là, c’est un groupe qui, là où d’autres formations ont choisi de céder au confort moderne et au barnum (comme U2 le fit juste après The Joshua Tree, dont Michka Assayas nous fait l’amitié de raconter la passionante story cette semaine), a choisi, lui, de livrer sur scène le spectacle brut et fascinant d’une intimité artistique magnifiée, livrée avec la parcimonie qu’il faut.

Le triomphe d’Arcade Fire à Belfort, c’est celui d’une bande qui n’a pas bougé d’un pouce, qui joue encore chaque concert comme si c’était le dernier, sans ironie, sans arrière-pensées, accumulant les tubes au fur et à mesure des albums et des années.

Près de deux heures de musique jouée sans interruption, avec une passion intacte, qui ont littéralement transcendé le public des Eurocks : on le voyait dans les yeux des spectateurs tout au long de la version étendue de Wake up qui s’est conclue sur un feu d’artifice – au sens propre – et un chant a capella collectif extrêmement prometteur et rassurant.

l'article

après c'est les Inrocks ... et on connait l'histoire d'amour entre Arcade Fire et les Eurockeennes

Je frissonne encore des deux concerts de Primavera. Mention particulière à l'urgence qui a transpiré du concert surprise pour leur première "date" de la tournée. Un moment hallucinant.

Pixies et Arcade Fire était tout à fait l'opposé en terme de proposition de live, mais les 2 étaient sympa.

Les Pixies, très généreux, qui enchaîne les morceaux de légende comme si de rien n'était. J'ai entendu les classiques "ils ont l'air de se faire chier sur scène" ou "même pas un bonjour/merci", mais pour ma part ça faisait partie de leur proposition: Arriver et enchaîner les morceaux en montant en intensité s'il faut, sans fioriture quelconque. Je dirais même qu'ils ont fait le concert que les Red Hot chili Peppers aurait dû réaliser mardi.

A l'opposé donc, Arcade Fire avec un set beaucoup plus maîtrisé et étudié, mais pas moins efficace. Je peux toujours pas blairer les groupes qui demande de taper dans les mains toute les 30 secondes, mais ça ne me pas gâché mon plaisir, surtout après le souvenir douloureux du concert de Montreux. Par contre, leur nouvel album frôle l'accident industriel. "Chemistry" bordel. "Chemistry"....

Mention très bien à Hypercult qui pourraient devenir une des valeurs sûres de la scène suisse.

Blasix a écrit:

Les Pixies, très généreux, qui enchaîne les morceaux de légende comme si de rien n'était. J'ai entendu les classiques "ils ont l'air de se faire chier sur scène" ou "même pas un bonjour/merci", mais pour ma part ça faisait partie de leur proposition: Arriver et enchaîner les morceaux en montant en intensité s'il faut, sans fioriture quelconque. Je dirais même qu'ils ont fait le concert que les Red Hot chili Peppers aurait dû réaliser mardi.

...comme en 2006. Ils sont comme ça

Blasix a écrit:

A l'opposé donc, Arcade Fire avec un set beaucoup plus maîtrisé et étudié, mais pas moins efficace. Je peux toujours pas blairer les groupes qui demande de taper dans les mains toute les 30 secondes, mais ça ne me pas gâché mon plaisir, surtout après le souvenir douloureux du concert de Montreux. Par contre, leur nouvel album frôle l'accident industriel. "Chemistry" bordel. "Chemistry"....

Il parait qu'ils ont dit un petit mot d'excuse pour leurs critiques du publique Suisse ?