vous lisez quoi ???

mis à part peut être Shining, j'aime pas Stephen King. c'est de la production de masse

J'ai commencé Rêve et Cauchemards de Stephen King, c'est 20 petites histoires, dans le genre ça passe mieux qu'un gros pavé

twix a écrit:

mis à part peut être Shining, j'aime pas Stephen King. c'est de la production de masse

C'est juste à présent il a quand même fait 2-3 bouquins pas mal et soit dit en passant "Marche ou Crève" c'est un de ceux que j'ai bien aimé.

de la lecture joyeuse

Je prends de l'avance sur demain...

il y a aussi des fans de BD dans le coins ???



Je sais pas si il est bien mais il faut que je me l'achète. En tout cas, pour l'avoir juste feuilleté, j'aime beaucoup les dessins

twix a écrit:

il y a aussi des fans de BD dans le coins ???



Je sais pas si il est bien mais il faut que je me l'achète. En tout cas, pour l'avoir juste feuilleté, j'aime beaucoup les dessins

Moi (j'ose même pas dire le nombre de BD que j'ai chez moi....)

Je n'ai pas encore eu l'occasion de le feuilleter celui-là mais d'après ce que j'ai lu à son sujet il a l'air pas mal.

Nufonia a écrit:

je viens de commencer



toujorus aussi incroyable Tolstoi!!

pas encore fini

allez plus que 200 pages

La suite de Trainspotting ou l’on retrouve les personnages principaux 10 ans après.

Mark Renton est toujours exilé à Amsterdam ou il est à présent gérant d’une boîte techno et compte bien ce tenir le plus loin possible de ces anciens amis, Spud marié avec un enfant est toujours aussi paumé et drogué et veut ce lancer dans l’écriture d’un livre , Frank Begbie plus psychopathe que jamais qui ne rêve que de pouvoir ce venger de Renton, finis de purger une peine de prison pour homicide involontaire et enfin Sick Boy qui est le personnage principal de cette histoire décide de tourner le porno du siècle après être tombé amoureux d’une jeune étudiante dont la plus grande crainte et de vieillir.

On retrouve le même système de narration que dans Trainspotting ou chaque chapitre sont consacrés à un des personnages principaux (Renton, Begbie, Spud, Sick Boy et Nikki) qui parle à la première personne ce qui permet d’avoir un point de vue multiple sur la situation.

C’est un vrai plaisir de retrouver ces personnages pour une suite très bien construite (ce qui n’est pas toujours le cas pour les suites) bref j’ai adoré.

Perso, je suis en plein Secoue-Britney.



J'arrive au bout, mais ce sera pour le relire aussitôt histoire de bien tout comprendre. Aussi touffu que le Roi Lear, mais aussi bon. Retenez ce nom ; il ira loin ce petit gars.

gritche a écrit:

La suite de Trainspotting ou l’on retrouve les personnages principaux 10 ans après.

Mark Renton est toujours exilé à Amsterdam ou il est à présent gérant d’une boîte techno et compte bien ce tenir le plus loin possible de ces anciens amis, Spud marié avec un enfant est toujours aussi paumé et drogué et veut ce lancer dans l’écriture d’un livre , Frank Begbie plus psychopathe que jamais qui ne rêve que de pouvoir ce venger de Renton, finis de purger une peine de prison pour homicide involontaire et enfin Sick Boy qui est le personnage principal de cette histoire décide de tourner le porno du siècle après être tombé amoureux d’une jeune étudiante dont la plus grande crainte et de vieillir.

On retrouve le même système de narration que dans Trainspotting ou chaque chapitre sont consacrés à un des personnages principaux (Renton, Begbie, Spud, Sick Boy et Nikki) qui parle à la première personne ce qui permet d’avoir un point de vue multiple sur la situation.

C’est un vrai plaisir de retrouver ces personnages pour une suite très bien construite (ce qui n’est pas toujours le cas pour les suites) bref j’ai adoré.

C'est drôle j'ai une édition en langue anglaise dont la couverture est autrement explicite et donc mieux assortie au titre du livre... C'est genre une poupée gonflable sur un fond rose!

Au programme de mes prochaines vacances, donc ta description me rend encore un peu plus impatient.

cynosargos a écrit:

gritche a écrit:

La suite de Trainspotting ou l’on retrouve les personnages principaux 10 ans après.

Mark Renton est toujours exilé à Amsterdam ou il est à présent gérant d’une boîte techno et compte bien ce tenir le plus loin possible de ces anciens amis, Spud marié avec un enfant est toujours aussi paumé et drogué et veut ce lancer dans l’écriture d’un livre , Frank Begbie plus psychopathe que jamais qui ne rêve que de pouvoir ce venger de Renton, finis de purger une peine de prison pour homicide involontaire et enfin Sick Boy qui est le personnage principal de cette histoire décide de tourner le porno du siècle après être tombé amoureux d’une jeune étudiante dont la plus grande crainte et de vieillir.

On retrouve le même système de narration que dans Trainspotting ou chaque chapitre sont consacrés à un des personnages principaux (Renton, Begbie, Spud, Sick Boy et Nikki) qui parle à la première personne ce qui permet d’avoir un point de vue multiple sur la situation.

C’est un vrai plaisir de retrouver ces personnages pour une suite très bien construite (ce qui n’est pas toujours le cas pour les suites) bref j’ai adoré.

C'est drôle j'ai une édition en langue anglaise dont la couverture est autrement explicite et donc mieux assortie au titre du livre... C'est genre une poupée gonflable sur un fond rose!

Au programme de mes prochaines vacances, donc ta description me rend encore un peu plus impatient.

Oui en effet j'ai vu la couverture de la version anglaise

Tu devrais en effet passer un bon moment si tu as aimé Trainspotting.

Après :



et



J'en suis au 3e tome :



Enorme ! Vraiment génial ! Bien écrit, pas mal documenté, accrocheur ! Dommage que la suite ne soit pas trop possible vu que l'écrivain est décédé...

Ouaip, excellents ces bouquins !! Impossible d'en sortir une fois que t'es dedans.

En ce qui me concerne :

La quintessence du polar marseillais:


Comment un individu peut faire des choses affreuses par docilité et passer au travers d'épurations multiples par une extrême malléabilité.

je viens de finir



très intéressant ! je découvre la philo avec ce bouquin et c'est très facile d'accès

Nufonia a écrit:

je viens de finir



très intéressant ! je découvre la philo avec ce bouquin et c'est très facile d'accès

Suis pas trop Comte-Sponvillien. Si tu as envie de découvrir d'autres manières de faire de la philo, je te conseille ce bouquin (6-7 Euro):


Ou les livres de Michel Onfray, notamment:

Malheureusement, 20 Euro.

Quand on aime...

cynosargos a écrit:

Nufonia a écrit:

je viens de finir



très intéressant ! je découvre la philo avec ce bouquin et c'est très facile d'accès

Suis pas trop Comte-Sponvillien. Si tu as envie de découvrir d'autres manières de faire de la philo, je te conseille ce bouquin (6-7 Euro):


Ou les livres de Michel Onfray, notamment:

Malheureusement, 20 Euro.

pourquoi t'aimes pas trop Sponville ?

les auteurs que tu cites écrivent clairement ?

Nufonia a écrit:

pourquoi t'aimes pas trop Sponville ?

les auteurs que tu cites écrivent clairement ?

Il y a deux choses que je n'aime pas chez Sponville:
1. En France, il y a deux types de philosophes: les universitaires (qui apparaissent peu dans les médias et sont souvent très spécialisés) et les philosophes de salon (qui vivent pour et par les médias et tiennent des discours sur des problèmes très généraux (la civilisation, la culture, l'Etat, la religion, le bonheur). Sponville est un philosophe de salon, très cultivé certes, mais qui peut te faire des théories sur n'importe quel sujet et quand tu creuses tu te rends compte que c'est assez superficiel ou plutôt faussement profond. Bon, c'est pas BHL non plus, loin de là même. Mais, du point de vue du contenu, ça n'est pas du tout un auteur de référence.

2. Sponville cultive un libéralisme philosophique, politique et moral que je trouve naïf, idéaliste.

Cela dit, il faut reconnaître aux philosophes de salon un avantage de taille: ils écrivent et parlent de façon très compréhensible pour les non-philosophes (c'est d'ailleurs la raison de leur succès médiatique). Jacques Bouveresse est typiquement un universitaire, spécialiste mondialement reconnu de philosophie du langage et de Wittgenstein. Le livre ci-dessus est une somme d'entretiens sur sa carrière et ses travaux, sa conception de la philosophie (à quoi ça sert? en quoi ça consiste?). Le livre est conçu pour un public profane, mais il est vrai que par moments c'est assez technique, mas rien de vraiment hard.

Michel Onfray est un des principaux animateurs des universités populaires en France. Même s'il apparaît assez régulièrement dans les médias, il n'est pas vraiment un philosophe de salon. Il s'efforce surtout de rendre accessible la philosophie au plus grand nombre mais sans imposer des théories de ceci ou cela. Il écrit clairement et a beaucoup d'humour. Son anti-manuel est vraiment un excellent moyen d'accéder à la matière sans se prendre la tête.

ok je vais lire tout ca et me faire mon propre avis !

Sponville m'a été conseillé par un pote qui est en 2ème année de philo... il me disait que c'était un auteur qui "résume" bien les choses, et avait une vision globale bien compréhensible.

anyway

Et je plussoie pour le Onfray!

C'est drôle tout en étant recherché, des questions fondamentales auxquelles on avait jamais vraiment osé penser.

Nufonia a écrit:

Sponville m'a été conseillé par un pote qui est en 2ème année de philo... il me disait que c'était un auteur qui "résume" bien les choses, et avait une vision globale bien compréhensible.

anyway

La première phrase me surprend un peu (qu'on fasse lire Sponville à des étudiants en philo, ça me dépasse) et je suis tout à fait d'accord avec la seconde.

Sinon, pour un exemple de philosophie directe, drôle et efficace:
Les cyniques grecs – fragments et témoignages Le Livre de poche numéro 4614

E, leader de Eels, vient de publier son autobiographie.
ça semble très bien

Citation :

Comment un jeune homme survit à la disparition de toute sa famille et réussit à devenir un artiste épanoui. Le leader des EELS évoque ses tragédies familiales, sa jeunesse déboussolée en Virginie, la mort des siens, la tentation du suicide, son départ soudain pour Los Angeles, où il ne connait personne, dans l'espoir fou d'y trouver la rédemption par la musique. Everett dit de son éducation qu'elle fut « ridicule, parfois tragique et toujours instable ». Mais d'une façon ou d'une autre il a réussi, non seulement à échapper aux tragédies qui l'ont hanté dans sa jeunesse, mais aussi à s'inspirer de ses expériences difficiles pour créer une musique acclamée par la critique. Ce chemin n'a pas été facile. Tais-toi ou meurs raconte avec une sincérité surprenante une histoire pleine d'espoir, d'humour et d'ironie.
Témoignage à cœur ouvert d'un artiste sensible et doué, ce livre, empreint d'une émotion maîtrisée, parle aussi des coulisses de l'industrie du disque, des faux semblants du rock'n'roll devenu un business, et de l'art comme exutoire et moyen de survie. La vie d'Everett a un but : combattre le vertige de la solitude auquel chacun doit un jour faire face..

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